Histoire
Vraiment Amélie Nothomb peut aller très loin, et là pour moi, elle a dépassé les limites, et même ses limites.
Certes ce roman dénonce la violence, l'infinie bêtise humaine que peuvent véhiculer certaines émissions télévisées.
Certes ce récit illustre la déshumanisation d'une période abjecte de l'histoire.
Mais c'est traité à la va-vite (l'auteure poussée à produire pour la rentrée littéraire de 2005 ?...) avec un format court, adressant des questions de notre humanité sans originalité ni profondeur. Les méchants sont très méchants, les gentils très gentils, l'héroïne très belle réussit à révéler le 'bon' enfoui chez une méchante, etc...
Mélanger 'télé-réalité' et camp de concentration était une idée morbide casse-gueule qui aurait demandé de la finesse. Échec. Les discussions tournent en rond, les propos sont naïfs, les personnages -même les gentils- ne créent pas d'empathie.
Certes ce roman dénonce la violence, l'infinie bêtise humaine que peuvent véhiculer certaines émissions télévisées.
Certes ce récit illustre la déshumanisation d'une période abjecte de l'histoire.
Mais c'est traité à la va-vite (l'auteure poussée à produire pour la rentrée littéraire de 2005 ?...) avec un format court, adressant des questions de notre humanité sans originalité ni profondeur. Les méchants sont très méchants, les gentils très gentils, l'héroïne très belle réussit à révéler le 'bon' enfoui chez une méchante, etc...
Mélanger 'télé-réalité' et camp de concentration était une idée morbide casse-gueule qui aurait demandé de la finesse. Échec. Les discussions tournent en rond, les propos sont naïfs, les personnages -même les gentils- ne créent pas d'empathie.
Non.
Plutôt lire Hunger Games, c'est largement plus subtil et prenant !
Plutôt lire Hunger Games, c'est largement plus subtil et prenant !
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