Histoire
Aomamé et Tengo continuent de se chercher sans se trouver... Avec l'affreux, moche et méchant Ushikawa à leurs trousses...
Impressions
Impressions
Même impression que pour le livre 2, c'est lent et répétitif. La magie n'opère plus, à mi-chemin de ce troisième opus Aomamé et Tengo ne se sont pas encore croisés..
Un bloggeur a poussé un cri:
'Maître de la redite dès le second tome, Murakami est élevé au grade de Grand Chevalier du délayage creux dans ce troisième volume.'
Et dans ce commentaire acerbe, sont cités quelques extraits qui -hélas pour moi fan de Murakami- sont assez confondants. Par exemple,
"Elle n'avait pas envie d'uriner. Elle sortit du réfrigérateur une bouteille d'eau minérale, en but deux verres. Mais l'envie n'était toujours pas là. Après tout, elle n'était pas pressée. Elle mit de côté les tests de grossesse, s'installa sur le canapé et se concentra sur sa lecture de Proust. L'envie d'uriner se manifesta trois heures plus tard. Ce qu'elle fit dans un récipient adéquat".
Et puis je ne comprends pas le 4ième de couverture qui dit
"Le Livre 3 fait entendre une nouvelle voix, celle d’Ushikawa."
C'est pourtant bien le même personnage qui a rendu visite à Tengo dans le 2ième livre (voire le premier, mais là je commence à avoir oublié, 1500 pages cumulées tout de même...) ?
Je ne comprends pas, j'ai du avoir un passage à vide pendant l'attente du dénouement.
Car Aomamé ne détient pas l'exclusivité de l'attente, le lecteur aussi attend que cela avance, et accessoirement que ce dernier tome s'achève.
Livre 3 qui permet de clore cette trilogie, mais rythme trop lent à mon goût. Ouf, fini...
“Aomamé” signifie “petits pois” en japonais.
Un bloggeur a poussé un cri:
'Maître de la redite dès le second tome, Murakami est élevé au grade de Grand Chevalier du délayage creux dans ce troisième volume.'
Et dans ce commentaire acerbe, sont cités quelques extraits qui -hélas pour moi fan de Murakami- sont assez confondants. Par exemple,
"Elle n'avait pas envie d'uriner. Elle sortit du réfrigérateur une bouteille d'eau minérale, en but deux verres. Mais l'envie n'était toujours pas là. Après tout, elle n'était pas pressée. Elle mit de côté les tests de grossesse, s'installa sur le canapé et se concentra sur sa lecture de Proust. L'envie d'uriner se manifesta trois heures plus tard. Ce qu'elle fit dans un récipient adéquat".
Et puis je ne comprends pas le 4ième de couverture qui dit
"Le Livre 3 fait entendre une nouvelle voix, celle d’Ushikawa."
C'est pourtant bien le même personnage qui a rendu visite à Tengo dans le 2ième livre (voire le premier, mais là je commence à avoir oublié, 1500 pages cumulées tout de même...) ?
Je ne comprends pas, j'ai du avoir un passage à vide pendant l'attente du dénouement.
Car Aomamé ne détient pas l'exclusivité de l'attente, le lecteur aussi attend que cela avance, et accessoirement que ce dernier tome s'achève.
Livre 3 qui permet de clore cette trilogie, mais rythme trop lent à mon goût. Ouf, fini...
“Aomamé” signifie “petits pois” en japonais.
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