Genre : noir, blanc, gris en Sardaigne
Histoire
Les années 50, la Sardaigne.
Maria, quatrième fille d’une mère désargentée, est vendue à Tzia Bonnaria Urrai, la couturière du village, une veuve sans enfant.
Des relations filiales au-delà du sang s'établissent, mais le secret de l''Accabadora' viendra parasiter cette bulle...
Maria, quatrième fille d’une mère désargentée, est vendue à Tzia Bonnaria Urrai, la couturière du village, une veuve sans enfant.
Des relations filiales au-delà du sang s'établissent, mais le secret de l''Accabadora' viendra parasiter cette bulle...
(Je ne veux surtout pas déflorer l'intrigue du roman en donnant la signification du titre sibyllin).
Impressions
Le portrait de Tzia, la femme en noir, est fouillé et captivant.
Et derrière cette peinture d'une époque campagnarde révolue, le roman évoque un thème sociétal qui fait l'actualité, avec des mots simples et empreints d'amour (là encore, je n'en dis pas plus).
En nuances, un très beau livre.
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