Genre : L'art de craquer au bout de 200 pages
Histoire
Impressions
L'écriture est maîtrisée et érudite (quelques tours dans le Robert sont parfois nécessaires).
Frédéric Beigbeider dans le Figaro et le Magazine Littéraire, qualifient ce roman de chef d’œuvre, Le Monde et le Libération sont plus mesurés, Les Inrockuptibles et Télérama y voit une fresque pompière ou indigeste.
Mitigé comme la moyenne des critiques, j'ai aimé le récit du héros Victorien Salagnon mais ai fini par abandonner cette lecture, enlisé dans les chapitres du narrateur, pesants, aux digressions redondantes et nauséabondes. Ce personnage masochiste qui se complait dans une décadence sociale progressive m'a totalement déplu, voire écœuré.
J'ai tenu 200 pages sur 650 pages, prix Goncourt ou pas...
Conclusion : non.
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