Histoire
Seule cette Pontiac Bonneville 1969 couleur crème que son père a achetée offre un espace imaginaire de rêve et d'évasion pour le narrateur. Voyageur nocturne au volant de ce vaisseau des routes hors d'état de rouler. Et ce n'est pas avec son emploi à la station-service d'une autoroute qu'il pourra se payer les réparations pour partir avec la belle des ateliers de Detroit...
Impressions
Qui est le personnage principal ? La Pontiac ou le narrateur ?
L'ambiance est curieuse. A la fois légère, presque poétique lors de ces voyages immobiles à bord de l'américaine. Et puis vraiment violente, noire, sanglante.
Cet homme est décalé, vit dans sa tête, regarde comme un observateur ses gestes et c'est terrifiant.
"Personne ne pourrait deviner combien de kilomètres j’ai accumulés comme ça, des kilomètres qui n’existent nulle part, juste derrière mes yeux, à travers des paysages que j’inventais au fur et à mesure. "
L'ambiance est curieuse. A la fois légère, presque poétique lors de ces voyages immobiles à bord de l'américaine. Et puis vraiment violente, noire, sanglante.
Cet homme est décalé, vit dans sa tête, regarde comme un observateur ses gestes et c'est terrifiant.
"Personne ne pourrait deviner combien de kilomètres j’ai accumulés comme ça, des kilomètres qui n’existent nulle part, juste derrière mes yeux, à travers des paysages que j’inventais au fur et à mesure. "
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