Histoire
En pleine 'Silicon Valley', Jack, un homme génie de l'informatique est au chômage et consacre ses journées au foyer. Julia, sa femme, elle se consacre corps -euphémisme ?- et âme à son entreprise high-tech en nanotechnologies. Quand Jack est embauché par cette boîte et qu'il doit se rendre dans leur usine du Nevada, les ennuis commencent...
Impressions
[Au début de la lecture]
Ouïe ouïe, je commence et je ne suis pas emballé. Le récit des 50 premières pages décrit des scènes d'une platitude consternante où le héros vit presque en vase clos dans sa maison et où, passif, il accumule les preuves de l'infidélité de sa femme et alterne le changement de couches avec des séances biberon... Les rares apparitions de sa femme jeune, belle, débordée de travail dans son entreprise de nouvelles technologies... mais infidèle apporte quelques touches de descriptions futuristes de nano caméras qui tentent de tenir en haleine le lecteur...
[Après la lecture]
Les apparences sont trompeuses, mais hélas les rebondissements n'ont pas suffi à me réconcilier avec ce roman. Le scénario est assez pauvre, fort peu crédible, et surtout tourne au film gore.
Les algorithmes d'auto-apprentissage sont certes d'actualité mais leur application à ces essaims de nanoparticules bio-inspirés qui se comportent en prédateurs dignes des films d'horreur les plus poussés m'a laissé perplexe.
La leçon -tellement vraie- est qu'une fois de plus l'homme investigue des ruptures technologiques qui le dépassent, voire peuvent l'annihiler.
Bof, bof. Pour la plage.
Un lecteur a laissé sur Babelio une critique assez virulente, qualifiant ce roman de plagiat. Il laisse des références que je tenterai de lire plus tard:
Greg Bear de 'La musique du sang"
Walter Jon Williams de "Aristoi"
Linda Nagata de 'The Bohr Maker"
Ouïe ouïe, je commence et je ne suis pas emballé. Le récit des 50 premières pages décrit des scènes d'une platitude consternante où le héros vit presque en vase clos dans sa maison et où, passif, il accumule les preuves de l'infidélité de sa femme et alterne le changement de couches avec des séances biberon... Les rares apparitions de sa femme jeune, belle, débordée de travail dans son entreprise de nouvelles technologies... mais infidèle apporte quelques touches de descriptions futuristes de nano caméras qui tentent de tenir en haleine le lecteur...
[Après la lecture]
Les apparences sont trompeuses, mais hélas les rebondissements n'ont pas suffi à me réconcilier avec ce roman. Le scénario est assez pauvre, fort peu crédible, et surtout tourne au film gore.
Les algorithmes d'auto-apprentissage sont certes d'actualité mais leur application à ces essaims de nanoparticules bio-inspirés qui se comportent en prédateurs dignes des films d'horreur les plus poussés m'a laissé perplexe.
La leçon -tellement vraie- est qu'une fois de plus l'homme investigue des ruptures technologiques qui le dépassent, voire peuvent l'annihiler.
Bof, bof. Pour la plage.
Un lecteur a laissé sur Babelio une critique assez virulente, qualifiant ce roman de plagiat. Il laisse des références que je tenterai de lire plus tard:
Greg Bear de 'La musique du sang"
Walter Jon Williams de "Aristoi"
Linda Nagata de 'The Bohr Maker"
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