Histoire
Ecrite depuis sa maison de retraite, confession d'un éleveur de brebis islandais à celle qui fut l'amour impossible de sa vie. Un homme qui a renoncé à la passion pour se préserver du tumulte de la vie citadine.
"[...] je suis celui qui n'est pas parti, celui qui a préféré croupir dans son coin plutôt que suivre son amour."
Ecrite depuis sa maison de retraite, confession d'un éleveur de brebis islandais à celle qui fut l'amour impossible de sa vie. Un homme qui a renoncé à la passion pour se préserver du tumulte de la vie citadine.
"[...] je suis celui qui n'est pas parti, celui qui a préféré croupir dans son coin plutôt que suivre son amour."
Ne me demandez pas comment prononcer les noms propres de ce roman, même celui du narrateur, Bjarni Gislason me laisse perplexe !
Cet homme surement taiseux et rustique cumule les fonctions au sein de cette communauté austère de la campagne islandaise: contrôleur de fourrage, éleveur, pêcheur, et amoureux de sa femme Unnur et de la nature.
L'auteur nous plonge avec grâce au plus près de la sensibilité de Bjarni, de ses doutes d'homme amoureux de sa femme et torturé par le désir d'Helga. Il dévoile un poète de la nature, peignant avec érotisme champêtre les landes, mixant sa passion charnelle et son amour .
"Aimons ce qui s'apaise et aimons la bonté humaine. je suis dans la bergerie à donner du fourrage. Tes hanches se dessinent sur le muret. Tes seins tanguent dans le foin. L'écho de tes soupirs de volupté s'échappe des silos. Tes yeux brillent dans le regard implorant des brebis affamées."
Cet homme surement taiseux et rustique cumule les fonctions au sein de cette communauté austère de la campagne islandaise: contrôleur de fourrage, éleveur, pêcheur, et amoureux de sa femme Unnur et de la nature.
L'auteur nous plonge avec grâce au plus près de la sensibilité de Bjarni, de ses doutes d'homme amoureux de sa femme et torturé par le désir d'Helga. Il dévoile un poète de la nature, peignant avec érotisme champêtre les landes, mixant sa passion charnelle et son amour .
"Aimons ce qui s'apaise et aimons la bonté humaine. je suis dans la bergerie à donner du fourrage. Tes hanches se dessinent sur le muret. Tes seins tanguent dans le foin. L'écho de tes soupirs de volupté s'échappe des silos. Tes yeux brillent dans le regard implorant des brebis affamées."
Une pépite taillée dans la lave islandaise, brute de poésie, hymne à la nature sauvage. Monologue court (130 pages) et délicieux.
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